Inspirée par le poème de Ronsard «A Cassandre» (Mignonne, allons voir si la rose…), Matereza, nous livre une vision idyllique de la beauté, fragile, éthérée, précieuse. Soie, satin, tulle, ornés ici et là de fleurs découpées et entièrement cousues main. Du vert d’eau au noir, du blanc au rouge, la Maison de couture, nous invite à suivre les phases de l’éclosion d’une femme fleur…