Les valeurs comme les raffinements rattachés au XVIIIème siècle, et plus particulièrement au Château de Versailles et à la Reine Marie-Antoinette, n’ont cessé d’inspirer Christian Dior tout au long de sa vie. Aujourd’hui encore, la Maison est l’héritière de cette passion et poursuit la quête esthétique du couturier-parfumeur amoureux des jardins en participant à la restauration du célèbre «Bosquet de la Reine» à Versailles.
Ce partenariat s’inscrit dans des valeurs de préservation de l’environnement et de durabilité chères à Maison Dior, ainsi qu’une contribution à redonner tout son faste à un espace paysager qui aurait comblé le couturier. Prolongeant le parterre de l’Orangerie, le «Bosquet de la Reine» est un jardin d’agrément atypique spécialement réalisé en 1776 pour la Reine Marie-Antoinette, afin de lui offrir un lieu de promenade plus intime, à l’écart des nombreux visiteurs. Planté d’essences d’arbres nord-américaines, nouvellement introduites à cette époque, il était riche de composantes végétales aux floraisons diversifiées et échelonnées. Aujourd’hui, Christian Dior Parfums, forte de sa passion pour les fleurs, a souhaité contribuer à redonner toute sa richesse végétale à cet espace paysager en s’associant plus particulièrement à la restauration des rosiers.
Les roses de Granville s’invitent à Versailles
Dès l’hiver 2020, la Maison Dior a permis de replanter 600 rosiers de 38 espèces différentes, sélectionnées par le pépiniériste des roses anciennes André Eve, contribuant ainsi à redonner leur beauté aux boisements périphériques qui bordent le carré central. Parmi ces roses, on compte 12 rosiers de Granville, fleurs du jardin normand d’enfance de Christian Dior ainsi que 15 rosiers de Damas, essence prisée des parfumeurs et dont les arômes brillent dans nombre de fragrances de la Maison. En participant ainsi à la valorisation des jardins de Versailles, Dior rend hommage à la célèbre collection de roses de Marie-Antoinette tout en poursuivant son souhait de laisser la beauté pour empreinte.