Après avoir interprété la figure du reptile au fil d’innombrables manières, toujours aux limites de l’orfèvrerie et de la Haute Joaillerie, Bulgari dépasse aujourd’hui son univers habituel et fait évoluer Serpenti. En effet, désormais l’icône se pare de bracelets à double tour en cuir exotique.
Filiation naturelle et légitime de la saga Serpenti, ces nouveaux bracelets sont en Karung, un serpent d’eau non venimeux dont la peau particulièrement fine et souple aligne des écailles hésitant entre celles du lézard et celles, communément habituelles, des serpents. Précieuse, plus originale et plus exclusive, elle nécessite un travail soigné de tannage au terme duquel le cuir est très agréable à porter, doux et onctueux. En surface, la coloration avec des pigments naturels, dans des couleurs vives et lumineuses en connivence avec les couleurs de cadrans, est encore rehaussée par un vernis à la brillance subtile. Le plus de cette montre, c’est qu’elle a la faculté de se métamorphoser en quelques instants grâce à un système très pratique de fixations rendant les bracelets aisément interchangeables, que ce soit sur les montres au boîtier en acier ou celles en or rose, serties ou non. Si chaque montre est délivrée avec deux bracelets – Karung ou veau – dans les coloris au choix de la cliente, une large palette de teintes additionnelles est également disponible. Les nuances sont parfaitement coordonnées aux couleurs des cadrans de 27 mm – noir, rouge, vert, ou blanc – finement laqués et guillochés soleil. Détail joaillier qui est la signature de Bulgari : la couronne de remontoir de ces montres animées par le mouvement à quartz calibre B033, est un cabochon en rubellite. On constate que Serpenti aujourd’hui fait sa mue avec toujours le beau dans la peau, une histoire d’amour qui n’est pas prête de s’arrêter (www.bulgari.com).